Ir al contenidoEstudios literarios: c. 1500-c. 1800
La actividad investigadora de Rosenblat fue muy variada, como corresponde a todo buen heredero de Menéndez Pidal. Destaca especialmente por su dedicación a la dialectología hispanoamericana: junto con sus maestros Amado Alonso y Pedro Henríquez Ureña, puede decirse que constituye el núcleo fundamental de donde arrancan los estudios posteriores sobre el español de (y en) América. Pero en su obra hay lugar también para muchos otros estudios: lingüísticos (sobre ortografía, morfología o léxico, descriptivos o históricos), de crítica literaria, ediciones de textos, análisis sobre la lengua de tales o cuales autores (p. ej. Ortega y Gasset). De estos últimos destaca el que aquí se presenta, dedicado a la lengua de la obra cumbre de la literatura española, la historia de Don Quijote de la Mancha. De forma amena, pero también exhaustiva, pasa revista a prácticamente todos los aspectos de la obra cervantina que para alguien de su formación lingüística eran especialmente relevantes. El prólogo que Lapesa escribió para la edición venezolana (1987) de "La lengua del Quijote", y que los lectores de esta edición van a tener la fortuna de poder saborear junto con el libro, da cuenta más que cumplida del valor que para el análisis lingüístico de la magna novela cervantina tienen los buceos que el lingüista finalmente venezolano realizó en ella durante tantos años.
L'espace est une notion essentielle autour de laquelle s'organise la complexité d'une oeuvre théâtrale, à la fois texte en action, représentation et genre poétique comme la « comedia ». C'est dans cette perspective qu'est analysée la poétique des espaces naturels, à partir d'un corpus de cinquante-six « comedias » de différents types, depuis Lope de Vega jusqu'au Calderón de la première moitié du XVIIe siècle. Dans le cadre du système spatial codifié de la « comedia », l'analyse typologique des actions en relation avec les espaces naturels permet d'explorer un imaginaire cohérent à travers un ensemble de lieux et de paysages. Selon une dialectique qui va de l'espace scénique du « corral » à l'espace dramatique, la mer et le « monte » sont, en particulier, l'objet de différentes formes de représentation. Celles-ci dépassent souvent le cadre strictement théâtral, à une époque charnière où l'appréhension de l'espace naturel ouvre de nouvelles perspectives paysagères et iconographiques.ÍndiceMONTE, MER, QUINTA. TYPOLOGIE ET SYMBOLIQUE I. - Les espaces de Vénus II. - Des espaces-refuges aux espaces de la violence III. - Du naturel au sacré IV. - Le jardin et la quinta. Enjeux dramatiques de la perspectiva sur les espaces naturels LACTION DRAMATIQUE DANS LE MONTE V. - Fonction de la chasse dans la caractérisation et lévolution spatiale de certains personnages types VI. - La chasse et laction dramatique du motif circonstanciel à la métaphore dramatique VII. - Une poétique du chemin dramatique (I). Fonctionnement dramatique du topique de légarement VIII. - Une poétique du chemin dramatique (II). Convention et ambiguïté de la structure dramatique de légarement REPRÉSENTATIONS ET POÉTIQUE IX. - La mer (I). Mise en scène et théâtralité X. - La mer (II). De lespace dramatique à la transposition métaphorique XI. Le monte (I). Les représentations scéniques, du « réalisme » au symbolique XII. Le monte (II). De lespace scénique à lespace dramatique